Carrière internationale ? Un vrai casse-tête pour la retraite !

Retraite 1961

Environ 2,5 millions de Français vivent actuellement à l’étranger*. Si on observe une baisse de 4,2% par rapport l’an dernier, explicable entre autres par la crise sanitaire, elle est inégale selon les régions du monde. Il n’en reste pas moins que lorsqu’il faut calculer sa retraite, on se heurte à un vrai casse-tête… Dans cet esprit, Novelvy propose cinq conseils pour anticiper et préparer sa retraite en toute sérénité.

1/ S’informer sur son statut : détaché ou expatrié ?

Le salarié “détaché” est employé par une entreprise française et envoyé pour une mission de courte durée à l’étranger.

Il continue alors à cotiser en France et à relever des régimes de retraite français obligatoires (régimes de base et complémentaire). Il valide ainsi des trimestres et des points, comme s’il travaillait en France.

À noter : ce statut ne dure qu’un temps limité et ne s’applique que si le contrat est français, permettant ainsi de rester dans le régime français de protection sociale.

Le salarié “expatrié” est envoyé par son entreprise pour une mission de longue durée à l’étranger. Même s’il peut le faire de façon volontaire, il cesse de cotiser de façon obligatoire auprès du régime de sécurité sociale français, et cotise dans le pays dans lequel il est employé. Le moment venu, il bénéficiera du droit à la retraite de ce pays sous réserve de l’application des conditions spécifiques à ce pays.

2/ Penser à la cotisation volontaire

Quel que soit son parcours à venir, toute personne qui part travailler à l’étranger a intérêt à adhérer à la CFE (Caisse des Français de l’Étranger).

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